4 ans après la sortie de Blood Siren, la chanteuse et pianiste américaine Sarah McCoy sort son deuxième album intitulé “High Priestess” – disponible le 27 janvier 2023. Elle sera en concert le 28 janvier au Carré Magique de Lannion.

Sarah McCoy qui était rompue à l’exercice en solo de son premier album jazz/blues évolue maintenant vers des sonorités électroniques et modernes, voire futuristes et est accompagnée sur scène de deux musiciens Jeff Hallam (Basse, Synthés) & Antoine Kerninon (Percussions & Synthés) et également d’un jeu de lumières proposé par Benjamin Durocher. Une toute nouvelle configuration qui enrichit de teintes inédites l’univers musical de Sarah. En parallèle de la sortie de son second album, une tournée française est prévue en 2023 et elle passera par Lannion le 28 janvier au Carré Magique.

Sarah McCoy
Sarah McCoy

S’étant affirmée en quelques années comme l’une des figures les plus flamboyantes de la scène musicale actuelle, la chanteuse et pianiste américaine Sarah McCoy est de retour aujourd’hui avec le single ‘Go Blind‘, extrait de son nouvel album High Priestessqui sortira en janvier 2023.

‘Go Blind’ et son clip filmé dans le décor lunaire du Lac Yesa (Espagne) sont une fidèle représentation de ce tournant dans la carrière de la chanteuse. Tout en gardant une touche scintillante de ce blues chic que les fans aguerris reconnaitront, Sarah annonce avec ce titre la couleur de son album High Priestess.

Elle y a sculpté une mélodie lumineuse et pénétrante tout en lançant des incantations vocales qui ne peuvent venir que des parties les plus obscures d’une âme.

Rompue à l’exercice en solo de son premier album Blood Siren, elle évolue maintenant vers des sonorités électroniques et modernes, voire futuristes, qu’un tout nouveau public va découvrir, tout en gardant cette conviction viscérale de chansons gorgées de vie qu’elle nous a amenées tout droit de la Nouvelle Orléans et qui lui ont valu une adoption instantanée dans le milieu du jazz/blues européen.

A propos de son nouvel album, Sarah McCoy déclare :

« Je ne suis pas sûre que qui que ce soit puisse définir le “genre” de High Priestess, mais c’est étonnamment amical pour l’intensité de la musique… Tout est lié à l’atmosphère dans laquelle les chansons sont nées. La Nouvelle-Orléans est une anomalie très spécifique aux États-Unis, et c’est là que j’ai nourri la musique de Blood Siren, qui est à la fois sombre comme un bar hanté… et légère, comme quand on a la tête dans les nuages. Avec mon nouvel album, on a plutôt les mains dans la terre. Quand je chante High Priestess, je m’attaque à quelque chose de très différent. C’est la dissection de ma relation personnelle avec moi-même. »

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